Le blog de Pascal Fournier

Fête des cigales à Boulogne-Billancourt : le 9 mai, fais ce qu'il te plait !

N'en déplaise à La Fontaine, les cigales méritent bien que nous leur fassions la fête, histoire que la fourmi leur prête pour une fois un peu d'attention et qu'elle se sente d'humeur estivale.

Nous avons tant besoin de légèreté et que les ballons s'envolent tels des sondes d'optimisme.

Belle initiative qui pour sa seconde édition rivalise d'ingéniosité pour nous faire sourire, nous détendre et nous parler tout simplement de joie de vivre, de partager et de prendre l'air. L'aéronautique est en effet à l'honneur cette année et les animations sont là pour satisfaire toutes les générations.

Les cigales chantent encore mieux dans leur clip... a voir et surtout à vivre !

Quand : le Dimanche 9 mai, de 12h 30 à 19h. Où ? , sur la coulée verte du
Maréchal-Juin, entre les rues de Bellevue et de Billancourt.

Outremondes à l'Espace 2030 : de l'hyper photo à l'hyper dialogue.

Jean-François Rauzier, l'homme au chapeau mou et en pardessus, le Jack Palmer de l'hyper photo s'entretient avec Frédéric Chappey, directeur des musées de la ville de Boulogne-Billancourt, un conservateur qui n'a rien de conservateur... hyper dialogues donc.

Journée Nationale du Souvenir de la Déportation à Boulogne-Billancourt

Le ciel bleu d'aujourd'hui rayonnait presque d'une note d'optimisme sur Boulogne-Billancourt, pourtant il imposait le recueillement et le silence. La synagogue d'abord, le cimetière ensuite, puis une exposition sur la fin du système concentrationnaire au rez de jardin de l'hôtel de ville furent autant d'occasions de nous rappeler et de nous interpeller sur la barbarie, sur le droit à la différence et sur notre devoir de mémoire... La pudeur exige que les mots ici se taisent mais qu'ils deviennent à nouveau des armes quand nécessaire. Et s'ils ne suffisaient, à nous d'être aussi déterminés que courageux. A l'heure où l'on siffle et  bafoue le drapeau de la république déjà odieusement souillé à des époques troubles, pas facile de dormir du sommeil du juste... Juste, nous aurions tous envie de l'être au nom de l'être plus que du néant dans lequel les révisionnistes et fanatiques aimeraient nous plonger. "Lugubre anniversaire" comme l'a précisé le sous-préfet des Hauts-de-Seine lors de son discours, anniversaire quand même de ces six millions de lumières éteintes par l'horreur et que la mémoire se doit d'allumer pour l'éternité.  Le poids de l'indicible pèse sur notre histoire et exige que l'oubli ne soit pas un nouvel outrage à cette humanité et cet humanisme que nous revendiquons tous...

MESSAGE DES DEPORTES

Il y a 65 ans, au printemps de 1945, comme l’écrivit André Malraux, « la vraie civilisation,… la part de l’homme que les camps ont voulu détruire » triomphait de la vraie barbarie.

Les dernières citadelles où les nazis détenaient encore des survivants du génocide des Juifs et des Tsiganes, et des rescapés des camps de concentration, s’écroulaient.

Ce furent des jours de bonheur et de tristesse pour les survivants. Des milliers de leurs camarades avaient disparu et, au moment même où ils étaient libérés, beaucoup d’autres, emmenés par les SS, agonisaient sur les routes d’Allemagne, dans des « évacuations forcées » et des « marches de la mort » qui n’avaient pour but que de supprimer les témoins de la barbarie.

En cette période anniversaire de leur libération, conscients de la dette qu’ils ont contractée envers les libérateurs, les survivantes et les survivants tiennent d’abord à exprimer leur reconnaissance envers les combattants des armées de la coalition antihitlérienne grâce auxquels la part de l’homme qui subsistait en eux fut préservée.

En ce jour de mémoire, nous voulons saluer et encourager toutes les initiatives qui vont dans le sens d’un monde de tolérance, de paix, d’amitié et de solidarité entre les hommes et les peuples. La construction d’une Europe unie et pacifique, l’Organisation des Nations Unies, les progrès d’un justice pénale internationale, et les multiples organisations non gouvernementales mobilisant une jeunesse ardente et généreuse, sont autant de signes d’espoir et de raison de croire en l’avenir.

Oui, nous croyons que le printemps refleurira et que l’humanité saura surmonter ses vieux démons, pour autant qu’elle tire les leçons de ses erreurs passées.

Ce message a été rédigé conjointement par
La Fondation pour la Mémoire et la Déportation (F.M.D.),
La Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance (F.N.D.I.R.),
La Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes (F.N.D.I.R.P.),
L’Union Nationale des Associations de Déportés, Internés Et Familles de disparus (U.N.A.D.I.F.),
l’Union Nationale des Déportés, Internés et Victimes de Guerre (U.N.D.I.V.G.).

Morteza Rafii : le regard "persan"

Dans le cadre du Cycle Talents Boulonnais, hommage à une peinture délicate et colorée qui rappelle les enluminures du passé et des mille et une nuits faites d'épopées et de rêves. Morteza Rafii venu d'une Perse qui s'est oubliée nous narre ces contes dont sa peinture est le sésame... Il était une fois le permis de rêver d'émotions subtiles et de caresses picturales. A partir du 3 mai, dans la nef de l'Espace Landowski.

 

Luc Besson et Louise Bourgoin à Boulogne-Billancourt...

Un premier "blanc-sec" à consommer sans modération.

Le 7ème et le 9ème art ne se marient pas si facilement... Les adaptations cinématographiques des Marvel, Superman et Batman sont inégales... Quant à Astérix, Lucky Luke ou Blueberry, n'en parlons pas, si ce n'est pour évoquer le désormais culte "Astérix et Cléopatre" de Alain Chabat aussi délirant que jubilatoire... Avec Adèle Blanc-Sec, Luc Besson s'est attaqué à un monument de la bande dessinée dont Tardi, son créateur, a particulièrement apprécié l'adaptation, jusqu'à réclamer une suite. Comme l'affirme Luc Besson, ce sont les spectateurs qui décideront !

C'est aux cinémas Pathé à Boulogne-Billancourt, que Luc Besson et Louise Bourgoin, une Adèle Blanc-Sec aussi charmeuse qu'envoûtante, se sont livrés avec humour et énergie aux questions des premiers spectateurs. Luc Besson a rappelé tout le plaisir qu'il avait à proposer un film qui invite au dépaysement et à l'évasion dans un contexte pas facile. "Les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" lui ont rendu l'envie de filmer et c'est tant mieux. Subway, Le Grand Bleu, Nikita, Jeanne d'Arc, Léon, le cinquième élément font partie de notre patrimoine cinématographique, voire musical. 

Le pitch : En cette année 1912, Adèle Blanc-Sec, jeune journaliste intrépide est prête à tout pour arriver à ses fins, y compris débarquer en Egypte et se retrouver aux prises avec des momies en tout genre. Au même moment à Paris, c'est la panique ! Un oeuf de ptérodactyle vieux de 136 millions d'années, a mystérieusement éclos sur une étagère du Jardin des Plantes, et l'oiseau sème la terreur dans le ciel de la capitale. Pas de quoi déstabiliser Adèle Blanc-Sec, dont les aventures révèlent bien d'autres surprises extraordinaires… Le scénario est adapté depuis les quatre premiers tomes : Adèle et la Bête, Le Démon de la tour Eiffel, Le Savant fou et Momies en folies.

Entre Indiana Jones et Rouletabille, il y a désormais Adèle Blanc-Sec et une irrésistible envie de relire l'ensemble de l'oeuvre de Tardi.

Avec Luc Besson, Louise Bourgoin et Eliane Duverne, directrice des cinémas Pathé de Boulogne-Billancourt.

Yoplait soutient la fine fleur de l'art à l'Espace 2030...

... Et la crème de l'art futur.

La dynamique culturelle de Boulogne-Billancourt reconnue et soutenue par le monde de l'entreprise. Entreprise boulonnaise mondialement connue, Yoplait vient de s'investir financièrement dans la vie culturelle de Boulogne-Billancourt notamment les expositions du M-A30 et de l'Espace 2030.

Ainsi peu à peu la politique de mécénat conduite par Isaure de Beauval, conseillère municipale déléguée, commence à porter ses fruits. Aéroports de Paris (ADP) accompagne également le futur Musée Paul Belmondo en participant financièrement à la création d'une galerie de sculptures tactiles pour les non voyants. 

 

Nouvelle section design au Musée des Années 30 (M-A30)

Le M-A30 se réinvente au fil des jours avec de nouvelles sections : "design" à partir du 22 juin et prochainement "costumes" en partenariat avec le Musée Galliera et "Orfèvrerie" avec Christofle.

 

L'Espace 2030 dans le Parisien d'aujourd'hui.

BBI Culture(s) : le magazine de la vie culturelle à Boulogne-Billancourt.

Bienvenue dans BBI Cultures, le magazine de la Culture et de toutes les cultures dont notre ville est à la fois l’écrin et le tremplin. En deux ans, la politique culturelle de Boulogne-Billancourt a été totalement revisitée autour de trois axes principaux : le rayonnement local, national et international de la ville; la valorisation et la promotion de ses talents quels qu’ils soient, l’accessibilité à une culture pour tous et pour tous les goûts.

 

Plus que jamais, la Culture a Boulogne-Billancourt présente de multiples vertus : ensoleiller le quotidien, permettre à chacun de se construire, de partager, de transmettre et tout simplement de se détendre. Avec BBI Cultures, vous avez désormais rendez-vous avec une actualité culturelle aussi dense que variée et qui a du sens; avec des personnalités d’hier et d’aujourd’hui dont la créativité et le dynamisme font toute notre fierté, avec les plumes de tous ceux qui s’investissent dans la Culture de la ville avec enthousiasme et dévouement.

Déjà le regard sur la ville a changé, la culture y contribue largement. Avec l’exposition Brigitte Bardot, Boulogne-Billancourt a fait le tour des médias du monde entier. Avec les différents concours destinés à reconnaître et stimuler la créativité de nos artistes en herbe ou confirmés, nous avons permis à de nombreux Boulonnais d’être reconnus. Avec la richesse de la programmation du Carré Belle-Feuille et du Théâtre de l’Ouest Parisien, nous avons su séduire tous les publics jusqu’aux plus jeunes.

Boulogne-Billancourt peut s’affirmer comme une ville capitale près de la capitale. Ainsi la culture dans notre ville participe t-elle à une véritable qualité de vie mais aussi à développer notre attractivité y compris sur le plan économique. Surprendre, divertir, former... permettre à chaque Boulonnais de s’épanouir comme il l’entend, la culture donne de notre ville une image d’une cité en constante effervescence, ouverte à toutes les idées et à tous les concepts, une ville respectueuse de son passé et de sa mémoire tout en se projetant dans l’avenir.

BBI Cultures est la vitrine de tout cela et vous invite à découvrir une culture qui sait prendre de la hauteur tout en étant proche de vous et de vos attentes. Disponible mi avril dans votre boite à lettres et dans tous les lieux culturels de la ville, précisons que BBI Cultures paraîtra trois fois par an et que grâce à une optimisation des coûts, il ne coûte pas plus cher que l'ancienne formule qu'il remplace, nous l'espérons pour votre plus grande satisfaction.

Bonne lecture.

 

High Sore : les jeux vidéo font leur festival à Boulogne-Billancourt.

Jeu t'aime passionnément.

Pour cette nouvelle édition, le festival High Score poursuit son exploration de l’univers des jeux vidéo et de la culture nippone. Consoles en accès libre, démonstrations animées par des associations de fans et de professionnels, défilé de Cosplay, tournois, concours de danse, karaoké, performances de dessinateurs de mangas et ateliers de sushis pour les gourmets.

Du 3 au 11 avril, un rendez-vous à l'Espace Landowski qui n'a rien de virtuel.