Quelques bizareries numériques comme la chose politique m'ont obligé à me réfugier dans le confort du silence... Cette ouate, où le verbe disparaître s'impose contre toute forme de paraître. Où l'écoute prime... surtout.
Loin du tout à l'égo qu'oblige ce miroir (le blog) -parfois imbécile- de sa propre vanité qui consiste à publier des articles et autres pensées qui jouent sur les mots et relèvent de l'auto satisfaction et/ou d'une pseudo thérapie, je me suis permis de considérer qu'aujourd'hui la vidange était faite et qu'il fallait remonter au créneau.
Ce temps de silence m'a permis de blanchir les idées noires en noircissant les pages blanches d'un roman en cours d'achèvement. Celui-ci arrivera t'il à son terme à savoir entre les mains des lecteurs qui me feront l'honneur de s'y intéresser ? Ce sera la seule décision des éditeurs.
Dès septembre, quelques extraits s'offriront à votre sagacité.
A moins que le silence ne reprenne définitivement ses droits.
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