Nouvel an, nouvel élan… Et si les cauchemars de novembre laissaient –sans les oublier- un peu de place au rêve. Comme le souhaitait Jacques Brel dans ses voeux de 1968 : « des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns ».
Pourtant malgré l’année naissante, un parfum de nostalgie nous vient de l’adolescence, sans doute d’une oisiveté perdue… Envie d’aller boire un verre « chez Laurette », de marcher dans la boue dans le « Loir et Cher », d’inviter à danser Marianne qui est toujours aussi jolie malgré les outrages de l’obscurantisme… Pour un flirt avec elle, nous ferions tous n’importe quoi !
« Quand j’étais chanteur » se conjugue aujourd’hui vraiment à l’imparfait, voici venue la « fin de son chemin ».
Réécouter « Wight is Wight» : « c’est comme un soleil dans le gris du ciel » de ce dimanche 3 janvier.
Pour mémoire, cette chanson de Michel Delpech figure dans son album live « ce lundi là… au Bataclan » (2005). Elle date de 69, « année érotique », comme la chantaient le grand Serge et la sublime Jane.
A 2016, de se trouver un qualificatif.
Jubilatoire ?
C’est tout ce que je vous souhaite.
« Salut les copains » et bonne année !
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