A tire d’L, une lettre qui fait parler d’elle
Livre d’été : sur la plage, un gros pavé qui au fil des pages égraine ses grains de sables jusque dans la couche du soir… ça vous gratouille ou ça vous chatouille ?
Vais-je enfin à réussir à finir les Bienveillantes dont je ne comprends toujours pas le pourquoi du titre. Tant pis pour la compréhension du titre, je ne le finirai pas. Même si c’est remarquablement bien écrit et documenté… justement ! Trop c’est trop : engrenage pervers banalisé, identification culpabilisante, voyeurisme disculpant sous prétexte de littérature… Allez hop, changeons de registre et fonçons sur « Jonathan Strange » de Suzanna Clarke qui cartonne dans le monde entier, je l’espère avec raison. Chronique à suivre et sans grains de sable.
Loanna : starlette low cost, remarquée plus que remarquable. Doit sa notoriété à une sulfureuse embrassade dans une piscine en direct sur nos petits écrans… Talent donc plus lingual que linguistique malgré des arguments topless de poids.
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